La manière systématique de réagir par l'Algérie démontre que les algériens et leurs régime ne sont pas acteurs de leurs vie et ni maitre de leurs comportements et agissements impulsifs incontrôlables de tel façon à ce l'on peut dire que c'est plutôt le Maroc et sa politique qui dessine le scénario de vie de l'Algérie et la quotidienneté de la populace algérienne conditionnée par la haine contre tout ce qui est marocain.
L'être algérien et l'état algérien n'est pas encore autodéterminé psychiquement et le monde entier, toute taille de puissance confondues, constate avec dérision, esprit, humour, et malice que le seul stimulus qui anime les reflexes , l'inconscient et la conduite de l'état algérienne et sa caste au pouvoir est de nuire au Maroc , d'imiter ou copier ce que fait le Maroc et non pas les intérêts de sa populace algérienne qui souffre des calvaires des files d'attentes. La différence entre agir et réagir n’est pas qu’une question banal prosaïque relevant de la sémantique, le Maroc est un acteur qui agit en fonction des intérêts de son peuples et la partage d'intérêts avec les autres pays frères amis par des actions bien étudiée et mûrement réfléchies et alors que la caste au pouvoir en Algérie s'entraînaient toujours dans des réactions (et non pas des actions) qui échappaient à leurs propres contrôles et ne prenaient même pas l'ombre d'once de recul ou de réflexion . Les êtres algériens ne sont pas conscients que leur façon de réagir manifeste un complexe de soumission à un déterminisme tributaire à l'action et à la manière d'agir de l'autre et précisément les actions de ce que la populace algérienne définie comme étant l'ennemi classique. Les algériens ont atteint un stade pavlovien à tel point de "copier coller" qu'ils ne font plus la différence entre soi et l’autre, entre ce qui leur appartient et ce qui appartient à l’autre.
