NOUS, LA FIFA ET NOS VOISINS PERFIDES

 Écrit par M'bark IND-MSKIN

Les trahisons commises par l'Algérie envers le Maroc ainsi que ses conspirations au fil des années ne datent pas d'hier, Ils remontent même à l'époque des ottomans jusqu'aux années de l'invasion française du Maroc avec des régiments de tirailleurs algériens qui eurent assiegés sauvagement Fés en 1911, sans compter les hordes de mercenaires algériens traducteurs. espions et guides indicateurs au services des officiers de l'armée françaises.

Le pire qui puisse arriver à  un peuple c'est de continuer à accepter d'être trahi et continuer de rabâcher le maudit "Khawa Khawa" en dépit  des ingratitudes répétitives des algériens ni leurs innombrables traîtrises réccurentes même lorsqu'ils étaient sous colonialisme turc ottomane ou sous domination française.

Encore un coup, Il y a une semaine les maudits voisins ingrats se déchaînent avec rage contre un   maillot de football floqué de la carte géographique ilusttrant l'achèvement de l'integrité territoriale du Maroc. Or il convient de rappeler qu'en 3 décembre 1958, pourtant en pleine période des indépendances, l'adhésion de la fédération royale marocaine du football a été annulée par la FIFA et le Maroc avait été ainsi mis au ban par la FIFA pour avoir eut soutenu cette même Algérie qui nous cherche des noises aujourd'hui et reniaient comme leurs prédécesseurs tous le bien vertueux et sacrifices du Maroc envers eux!

À la lumière de leur agissements acrimonieux si acerbes qui s'entend même au domaine sportif et prenait pour cible la RSB l'équipe de foot qui incarne les valeurs de l'hospitalité et la vaillance ville marocaine qui avait brité les bases-arrières de l'état major de l'ex armée frontalière, qui a confisqué l'indépendance de l'Algérie comme disait Ferhat Abbés.

Pour conclure, il est temps pour que tout marocain.normalement constitué met dans sa tête que seul un sot se faisait tromper souvent, mais le sage ne peut l’être qu’une fois.

Le président du MAK et du gouvernement provisoire Kabyle en exil en compagnie des officiels Qatari-Emirati-Saoudi à l'ONU

 Cette somptueuse photo du président du gouvernement provisoire Kabyle en exil en compagnie des officiels Qatari-Emirati-Saoudi à l'ONU

me fusse rappelé une phrase, qui est à la fois cocasse, insensé et décousu, que le président algérien Abdelmadjid Kedboune avait divagué lors de sa dernière interview télévisuelle clownesque. La dite interview télévisuelle durant laquelle il avait mis tout son bébête accent ainsi que ses invariables bouffonneries vocales emplies de perversité connexe à sa personnalité borderline pour lancer des menaces risibles dégueulé avec intonation impulsif si drôle et incontrôlable:

"Ceux qui veulent s’approcher de nous, qu’ils le fassentلي يحوس علينا يقرب /اقترب إذا شئت "

Chose promise , chose due. Par là-même, Kedboune devrait faire ce qu’il avait dit, et devrait tenir ses promesses fantaisistes pour ne pas ébranler la confiance de ceux parmi sa populace qui eussent cru ses gamineries

La montée de l'autoritarisme à l'échelle planétaire y compris à l'intérieur des sociétés démocratiques.

Selon l'institut suédois V=Dem, qui évalué la qualité des régimes politiques dans le monde, l'autocratisme comme style de gouvernance a le vent en poupe actuellement dans la conjoncture politique internationale, A la fin de 2022 le monde est divisé à part égale entre 90 démocraties et 89 autocraties, bien que parmi les divers "variétés" de démocraties et autocraties, classifiées ou catégorisées selon un échelle de "démocratisation / autocratisme" adopté par cet institut en quatre catégories:

* Autocraties fermés (régimes totalitaires)

* Autocraties électorales

* Démocraties électorales

* Démocraties libérales

Le monde abrite aujourd'hui plus d'autocraties fermés (dictature que de démocratie libérales et ce pour la première fois depuis 1995, étant donné que le nombre de démocraties passe d’un sommet de 44 en 2009 à 32 en 2022. En revanche, le nombre d’autocraties fermées passe d'un minimum de 22 en 2012 jusqu'à 33 en 2022. Cela met en évidence les graves conséquences de la recrudescence actuelle de l'autocratisme qui monte en puissance.

Le rapport de V-Dem (voir le lien du rapport)dénote que:

• 72 % de la population mondiale soit 5,7 milliards de personnes vivent actuellement sous des autocraties soit une augmentation par rapport à 46 % il y a dix ans.

• 28 % de la population de la planète qui représente 2,2 milliards de personnes vivent sous des autocraties fermées (despotisme absolu)

• 13 % de la population du globe qui équivaut 1milliard de personnes vit en milieu démocratique libéral.

Par ailleurs, selon le rapport de l'institut V-Dem l’incertitude demeure quant aux régimes qui présentent des degrés similaires de traits autoritaires et démocratiques et sont donc proches de la ligne de démarcation entre démocratie et autocratie.

En 2022, cette incertitude concernait 16 pays. Ainsi, le nombre d’autocraties dans le monde pourrait varier de 84 à 100 pays, 89 étant la meilleure estimation admise par les auteurs du rapport de V-Dem.

Le rapport précise que neuf nouveaux pays se transmutaient en des autocraties fermées au cours des deux dernières années, en pareille occurrence: Afghanistan, Tchad, Guinée, Haïti, Iran, Mali,

Myanmar, Turkménistan et Ouzbékistan.

En outre, ce rapport en entend par voie de conséquence qu'il s'agît d'un signe de l’importance de la montée de l'autoritarisme et l'autocratisme comme étant une donnée forte du paysage politique de notre temps au niveau mondial.

De même pour les démocraties électorales et les autocraties électorales, qui représentent vraisemblablement deux faces d'une même monnaie, voyaient leur nombre allant crescendo au cours des 50 dernières années. Manifestement selon les données du rapport en question les démocraties électorales et les autocraties électorales, sont devenus à tour de rôle l'archétype de gouvernance le plus prisé lors de la dernière décennie. Cela s'explique par le fait que de nombreux régimes introduisaient des processus électoraux de façade tout en préservant une nature foncièrement autoritaire et ce depuis l'effondrement du bloc de l'est depuis la fin des années 80.

Dans l’ensemble, les autocraties électorales augmentent sensiblement, passant de 35 à

1978 à 56 ans en 2022, ce qui en fait la deuxième catégorie la plus répandu comme mode gouvernance.

Mbark IND-MSKIN

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